Newsletter – juin 2016 |
BRUNCH AVEC LE DUKE ORCHESTRA Very good news pour les amateurs des splendeurs ellingtoniennes : Laurent Mignard et son irrésistible phalange ducale nous reviennent dans ce lieu confortable et convivial, hanté par les mânes des prestigieux musiciens qui y ont brillé. Occasion unique de retrouver nos flamboyants keepers of the Ellington flame dans des conditions de proximité particulièrement chaleureuses. |
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SYLVIA HOWARD & THE BLACK LABEL SWINGTET Cela faisait quelque temps que la sémillante Sylvia n’avait pas enflammé une scène parisienne. Alain Brunet (tp), Jean-Sylvain Bourgenot (fgb), Jean-Jacques Taïb (ts, cl), Antoine Chaudron (ts), Thierry Tocanne (p), Jean de Parseval (elb), Yves Nahon (d) et Christian Bonnet (arr) lui donneront la réplique pour une soirée placée sous les ombres tutélaires de Duke Ellington et de Billie Holiday. |
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« UNE POULE SUR UN PIANO » Qu’est venu faire Duke Ellington en 1966 en plein coeur de la campagne forézienne ? Pourquoi a-t-il été autant marqué par les trois jours qu’il y a passés au point de composer sa Goutelas Suite et d’y consacrer un chapitre entier dans son autobiographie ? Le film « Une Poule sur un Piano » raconte l’histoire de ces ouvriers, intellectuels, agriculteurs, artistes, venus de tous horizons, qui se rassemblent autour d’un projet commun : la restauration du château de Goutelas. Ellington, qui vient de terminer une tournée en Europe, va lui aussi devenir un acteur important de la reconstruction de cette demeure Renaissance tombée en désuétude. Il y découvre un monde dont les valeurs d’humanisme, de désintéressement et de solidarité au service de cette cause patrimoniale le touchent particulièrement. Goutelas devient alors pour tous un catalyseur, le symbole d’un idéal qui perdure encore aujourd’hui. |
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CONFÉRENCE Ellington avait coutume de dire « je suis né à Newport », tant l’avait marqué ce concert de folie donné par lui-même et ses hommes au cours de cette nuit électrique du 7 juillet 1956. Il faut dire que le retentissement médiatique de l’événement prit une telle ampleur que la carrière ducale s’en trouva boostée dans des proportions inespérées. Soixante ans après, Claude Carrière se fera un plaisir d’éclairer, exemples musicaux à l’appui, les arcanes de ce tour de force d’un soir que Duke et son orchestre, le ténor Paul Gonsalves en tête, ont présenté à un public festivalier littéralement ivre de bonheur. |
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RAPPEL COTISATIONS 2016 Rappel à l’attention des procrastinateurs invétérés… |
CD INEDIT MAISON DU DUKE Paris, 22 février 1963 : Duke Ellington, alors directeur artistique du label Reprise, a l’idée originale d’organiser une séance d’enregistrement autour des violonistes Stéphane Grappelli, Ray Nance et Svend Asmussen accompagnés par la rythmique ducale et suivant les plages par quelques soufflants ellingtoniens. La MDD a le plaisir d’offrir à ses adhérents un huitième CD présentant la quasi-totalité de cette étonnante séance, avec plus de 32 minutes de matériau inédit ! |
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AGENDA 5 juin – 11h30 14 juin – 20h 25 juin – 11h (durée : 1h15) 28 juin – 18h |
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La Maison du Duke
5 bis cité du midi 75018 Paris – France Si vous ne souhaitez plus recevoir nos messages, envoyez STOP à désabonnement
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